Faudra un jour que les gays m’expliquent leur manie de toujours vouloir créer des groupes
— I AM L (@RVwords) February 12, 2015
Il est des matins ou tu te lèves et la tendance te pousse a gueuler TRÈS fort contre TOUT ce qui est socialisation LGBT. Comprenons-nous bien: socialisation = groupes (Facebook, WhatsApp, Viber, Twitter par affinités ,…), bars, sorties communes,…TOUT ce qui peut se faire entre LGBT autre que le militantisme. Après, je suis pas souvent douée pour la titraille donc, excusez le titre.
1. Lieux d’exposition par excellence. On ne ne sais jamais qui (homo ou hétéro) est qui (homo ou hétéro) dans un groupe ou un bar ou un groupe. Et pour les “Out to reach (pas près de sortir de leur placard)”, c’est vraiment pas le lieu à fréquenter . Les rumeurs ont commencée à circuler sur mon orientation non parce que je fréquentais des bars gays mais parce que j’étais amie à une adepte des tous ces lieux.
2. Lieu de discrimination. Entre membres d’une même communauté, c’est juste ABERRANT! Il y a des bars et groupes pour gays, des bars/groupes pour lesbiennes pour butchs,pour femmes, pour bisexuelles, pour BCBG, pour footballeuses, pour chômeuses, pour rejetées,…
Et tu dois choisir ton clan. Really??? On est d’abord combien poir se permettre ce genre de querelles idiotes???
— I AM L (@RVwords) February 12, 2015
3. Siège de violence aggravée. Entre nous, contre nous. Les agressions, extorsion, guet-apens homophobes se recensent de plus en plus dans les lieux dédiés à la communauté et non en dehors.
Et tout le monde peut être victime de violence à tout moment. Être dans un club “gay” ne nous protège pas. Au contraire — I AM L (@RVwords) February 12, 2015
4. Site de débauche : Tout le monde connait tout le monde et a forcement couché avec tout le monde a un moment ou un autre.
C’est ce cloisonnement qui donne une image écornée de l’homosexualité. Clan façon de perversion et de débauche. — I AM L (@RVwords) February 12, 2015
5. Source de problèmes inutiles. Chacun vient s’exhiber, se donner en spectacle. Tu peux pas dire bonjour à une fille, tu lui faisais des avances. Tu peux pas avoir de saines affinités avec autrui, vous arrangiez un plan cul. Et comme jalousie la, c’est sanguinaire chez le noir,… la majorite des bars gays et de groupes gays font faillite.
6. Offre limitée : En terme de discussion, d’activités,… Les sujets de discussion sont restreints (à la femme et aux ragots. Rarement aux actualités, ). Les activités aussi. Fêtes et jeux qui dégénèrent presque toujours en tape-dos, week-end dans des cités balnéaires, pride, alcool,… et sexe.
7. Absence de tenue. Toujours obligée d’afficher ses préférences, son appartenance,… Pourquoi dans ce cas créer un groupe, un bar? Il ne nous rend pas plus fort. Cela renforce juste l’image écornée que les homophobes ont de l’homosexuel. Un snack sympa et ouvert à la communauté avait du fermer parce que les filles, pantalon plus bas que la taille, tatouages et piercings jusqu’au front, bouteille de bières dans une main, cheveux de femmes dans l’autre n’étaient pas foutues de donner leurs coups de pieds dans la salle. Il fallait qu’on les voie, que l’on sache qu’elles sont là et qu’elles cognent aussi fort que les hommes.
8. Perte de temps. Vous ne partagerez JAMAIS vos problèmes d’homophobie, il y aura rarement une oreille pour vous écouter. Vous n’en sortirez jamais avec une information sur la santé sexuelle des lesbiennes et encore moins les lois en vigueur dans votre pays. Ce sont les problèmes des “autres”. Nous on aime seulement les femmes. On n’est pas comme ça.
9. Les vrais LGBT n’y vont pas. Ils sont comme les oiseaux de Colleen McCullough. Ils se cachent pour aimer
10. Socialisation entre LGBT = Auto-discrimination
@RVwords voilà! S’il faut se faire accepter c’est bon de se mêler aux autres
— Chiche Q (@laninoche) February 12, 2015
Je ne l’aurai pas mieux dit.
Sur ce, je vous retrouve dimanche pour la suite des billets consacrés à la Bible et l’homosexualité.
Miaouuu!
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